L'une et l'autre, l'autre et l'une, se trouvèrent un jour par une forêt obscure, à la croisée des chemins. L'une, voyageuse ne sachant dire où est sa maison, de quel côté du Rhin ou des océans. L'autre, arpenteresse du jour-le-jour, apprenant à nommer les herbes folles. Toutes deux femmes de plume et questionneuses du comment dire : l'une journaliste, l'autre poétesse, elles avaient cette habitude de tout vouloir régler par des mots.
A l'orée du bois, elle firent halte : et si cela se pouvait partager. Marcher ensemble, vous entraîner avec elles dans leurs parcours. Et que faire des cailloux du chemin ?
Bon courage (c'est vrai qu'une parentèse laissée ouverte cause une sacrée tension
RépondreSupprimerTu vas y arriver et moi aussi.
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