9 mars 2010

Missive

Ce soir, je voulais recopier ici quelques notes sur la "communication non-violente", prises à partir d'un livre dans lequel je me suis replongée après une longue latence...

Mais voilà que je trouve dans ma messagerie ces mots de mon correspondant tourangeau (et néanmoins peintre), mots qui m'ont causé un tel plaisir que je ne résiste pas à celui de les partager :

Tu peux devenir une figure d'amour puissant, ne te laisse ni détruire, ni avoir, réponds aux besoins de ta vitalité profonde, tu serais une Perséphone qui ne se ferait pas enlever, retrouve de ta superbe malgré le deuil, car tu es superbe. Envole toi et danse. Avec le temps, rien ne s'évanouit, mais on s'habitue à ces traces incompressibles. Laisse donc les cons de coté, surveille toi, fais attention de ne pas te laisser aller, garde ta ligne, car tu en as la force, ne doute plus de toi, je te dis tout ça parce que je t'aime, vu que t'es mon auteur, non, je t'adore et c'est mieux ainsi, car on pourrait inventer un autel ou nul ne paierai de sa vie, mais gagnerait de sa santé.

Franchement, après ça, est-ce que je peux encore me permettre de mal dormir ?

1 commentaire:

  1. Non, effectivement! ça doit faire chaud au coeur de lire un truc pareil, d'ailleurs c'est le cas! et tu l'as mérité.

    RépondreSupprimer

pas