30 septembre 2010

Joies du jeudi #38

* Écouter Wolfmother, Gainsbourg revu par Fred Frith, et faire le plein de nouvelles musiques à découvrir. Reprendre mes échanges de MP3 avec l'inspirante et soyeuse Fanny. Donner du caractère aux petits matins pluvieux avec Siouxsie and the Banshees.



* Offrir une nouvelle vie à mes vieux vêtements grâce à une formidable soirée de vide-dressing chez Olivia.

* Marier ma cousine en rouge et noir. Manger du foie gras avec un chutney. Saluer Léon Gambetta dans la salle des mariages de la mairie du XXème. Garder le bouquet.


* Parler de Koltès avec un ancien de ma khâgne devenu réalisateur. Trouver très agréable de croiser des gens spontanés et créatifs.

* Découvrir AU COIN DU JEU, la nouvelle boutique du Ludomancien, et y essayer de chouettes jeux - j'espère premier samedi après-midi ludique d'une longue série.

* Manger du rôti de bœuf tout moelleux. Découvrir le nouveau restaurant du Cent Quatre.

* Rêver en arpentant les replis cachés de l'Est parisien, et en lisant quotidiennement des annonces immobilières. J'aime énormément mon quartier, mais l'idée de changer de décor, de me réinventer un intérieur et de découvrir un nouvel environnement m'excite énormément.

* Me poser tranquillement chez moi, reprendre possession de mon espace et de mon temps.

* M'étirer, prendre plaisir à être un corps (et non pas avoir un corps).

* Apprendre qu'un de mes amis a passé ses vacances à faire précisément ce que je rêverais de faire si j'avais dix jours devant moi : rencontrer des gens intéressants, vivre dans la spontanéité, et faire un stage de danse dans un endroit bucolique. C'est donc possible. Je prends cette coïncidence (j'avais noté ce vœu quelques jours plus tôt mot pour mot : faire un stage de danse dans un endroit bucolique) comme un encouragement à suivre mes envies profondes.

* Me découvrir capable de profiter de l'instant sans arrière-pensée, de voir l'humour des situations, et de considérer que les problèmes des autres n'étant pas les miens, il n'y a pas de raison qu'ils m'atteignent.

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